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Commentaires de l'utilisateur: swingoutsister2
Fiche: [Séries » Star Wars: Ahsoka]
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Fiche: [Séries » Evil]
swingoutsister2 >> le 04/10/2023 à 17:57#362
bonjour, j'ai envoyé les liens pour les 3 derniers épisodes en 100% VF à Ghisk hier en mp. En espérant qu'ils soient mis à jour ici prochainement. Merci d'avance pour tous.
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swingoutsister2 >> le 01/10/2023 à 14:19#361
2ème version pour le même album avec 2 bonus. Sacrée Kylie. J'attends les versions 3 ou 4 de l'album lol
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Fiche: [Séries » Everyone Else Burns]
swingoutsister2 >> le 30/09/2023 à 22:52#360
les doublages de l'épisode 1 sont pour les malentendants. Trop pénible à regarder.
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Fiche: [Séries » Brassic]
swingoutsister2 >> le 30/09/2023 à 10:26#359
La saison 5 vient de sortir en VO (récupérée avant hier). Je ne sais pas quand elle est prévue en VF mais je suis grave preneur !!
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Fiche: [Séries » La Roue du Temps]
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Fiche: [Séries » The Changeling]
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Fiche: [Séries » Brokenwood]
swingoutsister2 >> le 28/09/2023 à 22:01#356
Bonjour, serait-il possible s'il vous plaît d'ajouter un lien 1Fichier dans les premières saisons qui en sont dépourvues car les épisodes ne sont plus téléchargeables avec les liens disponibles. Merci d'avance
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Fiche: [Séries » Star Trek: Lower Decks]
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Fiche: [Séries » Star Trek: Lower Decks]
swingoutsister2 >> le 28/09/2023 à 18:25#354
Bonjour, serait-il possible d'avoir les épisodes 4 et 5 dans ce format s'il vous plaît ? Merci d'avance
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Fiche: [Séries » Invasion]
swingoutsister2 >> le 28/09/2023 à 08:16#353
merci pour le 6, savez vous si le 5 sera bientôt disponible ?
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Fiche: [Films » Scooby-Doo! and Krypto, Too!]
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Fiche: [Séries » Everyone Else Burns]
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Fiche: [Films » Mes trésors]
swingoutsister2 >> le 23/09/2023 à 09:28#348
bonjour, un reup de ce format serait-il possible s'il vous plait ? Merci
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Fiche: [Séries » Star Trek: Lower Decks]
swingoutsister2 >> le 23/09/2023 à 07:44#347
Bonjour, serait-il possible d'avoir l'épisode 4 s'il vous plaît ? Merci d'avance
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Fiche: [Séries » Invasion]
swingoutsister2 >> le 22/09/2023 à 07:44#345
bonjour, serait-il possible d'avoir l'épisode 5 dans ce format s'il vous plait ? Merci d'avance
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Fiche: [Séries » The Spencer Sisters]
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Fiche: [Séries » Star Wars: Ahsoka]
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Fiche: [Films » Voyage au centre de la Terre]
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swingoutsister2 >> le 18/09/2023 à 20:02#340
La clé de transdistorsion... et les débuts de Bee. Et un objet magique qui permettrait au super-méchant de service de dévorer des planètes (sic !) et régner sur tout l'univers. Encore ?? Oui !
La saga n'a que peu de fans chez les minorités ethniques américaines ? Qu'à cela ne tienne : racolons ! Sauf qu'au bout de 30 minutes tous les clichés y passent et le spectateur exigeant et réflexif aura déjà décroché : le black et l'hispano sont de pauvres citoyens ou de vulgaires sous-fifres ; et des voleurs.
Pas même gêné par ses mêmes personnages translucides, ses situations déjà vues et son fond de commerce d'une pauvreté déplorable -quand ce n'est pas tout simplement idiot- jusqu'aux twists complètement ridicules, Transformers 6 1/2 racle les fond de tiroirs et sent la poussière. On passe sans trop de mal de la voiture qui se conduit toute seule à l'objet magique accidentellement réactivé afin de réveiller les méchants et jouer à la guéguerre avec eux. Avec des transformations à la mord-moi-le-noeud où l'absence de règles de "Mirage" fait perdre une partie du charme de la licence. Même pas un trait d'humour pour nous soutirer un sourire, alors on s'accrochera comme on pourra à l'aventure sud américaine, moins urbaine, ainsi qu'à ces nouveaux robots, véritable attraction du film. Mais vous n'aurez pas mon âme, même avec les géniaux Wu Tang Clan !!
De son côté la réalisation racée et frénétique de M. Bay nous manquerait presque face à cet épisode insipide dont on voit les moindres rajouts numériques sur des plans pour le moins bateaux. Quand on n'a pas l'impression persistante d'être tout simplement dans un film animé 3D.
Donc, dans les années 90 nos Transformers ont fait leur coming out et puis tout le monde les a oublié quelques temps plus tard ? C'est malheureusement dans un souci de logique et ce à quoi sert le maladroit jeu cache-cache du film...
NOTE : 5 / 20
La saga n'a que peu de fans chez les minorités ethniques américaines ? Qu'à cela ne tienne : racolons ! Sauf qu'au bout de 30 minutes tous les clichés y passent et le spectateur exigeant et réflexif aura déjà décroché : le black et l'hispano sont de pauvres citoyens ou de vulgaires sous-fifres ; et des voleurs.
Pas même gêné par ses mêmes personnages translucides, ses situations déjà vues et son fond de commerce d'une pauvreté déplorable -quand ce n'est pas tout simplement idiot- jusqu'aux twists complètement ridicules, Transformers 6 1/2 racle les fond de tiroirs et sent la poussière. On passe sans trop de mal de la voiture qui se conduit toute seule à l'objet magique accidentellement réactivé afin de réveiller les méchants et jouer à la guéguerre avec eux. Avec des transformations à la mord-moi-le-noeud où l'absence de règles de "Mirage" fait perdre une partie du charme de la licence. Même pas un trait d'humour pour nous soutirer un sourire, alors on s'accrochera comme on pourra à l'aventure sud américaine, moins urbaine, ainsi qu'à ces nouveaux robots, véritable attraction du film. Mais vous n'aurez pas mon âme, même avec les géniaux Wu Tang Clan !!
De son côté la réalisation racée et frénétique de M. Bay nous manquerait presque face à cet épisode insipide dont on voit les moindres rajouts numériques sur des plans pour le moins bateaux. Quand on n'a pas l'impression persistante d'être tout simplement dans un film animé 3D.
Donc, dans les années 90 nos Transformers ont fait leur coming out et puis tout le monde les a oublié quelques temps plus tard ? C'est malheureusement dans un souci de logique et ce à quoi sert le maladroit jeu cache-cache du film...
NOTE : 5 / 20
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Fiche: [Films » Fast & Furious X]
swingoutsister2 >> le 18/09/2023 à 17:35#339
Une salve d'émotions fake pour lesquelles on sent bien que le scénario n'est pas à l'aise, de la belles bagnoles, de l'humour qui laisse complètement froid, une méchante remplacée par un super méchant-revenant comme la saga sait les pondre, une réalisation vertigineuse qui n'est qu'efficacité, une trame faussement tortueuse, un Jason Momoa qui n'a pas la fibre d'un bad guy convaincant. Et les impayables scènes d'action XXXXL (etc, etc...) pour en foutre plein la vue en dépit d'un côté de moins en moins éloigné du domaine de la science fiction, au fur et à mesure que la série F&F avance.
Mais on est là et on sait pourquoi on l'est : le fun décomplexé au plus haut point, cette histoire réduite au strict minimum, des acteurs assis dans leur rôle respectif (Vin est de plus en plus mauvais, non ??) et des SPFX numériques en veux-tu en voilà pour un spectacle spectaculaire plus gros que nature. Et du non sens en excès au travers d'un scénario qui reste, soit en travers de la gorge, soit sur l'estomac. Ou plutôt les deux : ce méchant méchamment cabotin qui a toujours absolument tout prévu est aussi proprement crétin qu'insupportable.
Fast X ne déroge donc à aucune règles établies et a le malheur de refaire ad nauseam exactement la même chose que la plupart des épisodes précédents, prenant soin de cocher impérativement toutes les cases sus-citées. Bête à manger du foin et lassant depuis des années.
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Fiche: [Films » Shazam! La Rage des Dieux]
swingoutsister2 >> le 18/09/2023 à 17:11#338
La revanche des arrières grands-mères en quête d'un objet magique et surpuissant.
Caricature, c'est le mot qui convient le mieux à ce Shazam 2. Depuis les déclamations ringardes des bad grandmas jusqu'à celles soulignant inutilement les actions des héros, en passant par les très / trop nombreuses scènes de déjà vu. On se croirait revenu au temps des tout premiers "Superman", avec un alignement de ce qui est devenus des poncifs du genre ; et d'autres genres. Inutile de les énumérer ici bas.
En tous les cas on sent que, vu la fadeur du plat principal, le scénario se contentant de brouter à loisir, sans suspens, on a rajouté plus d'épices que nécessaire : effets XXL (qui se bornent souvent à casser numériquement des décors numériques), humour bon enfant et à rallonge, et apprentis héros maladroits manquant fortement de charisme et perdant ce qui pouvait faire leur charme dans l'épisode précédent.
Quoiqu'il en soit l'histoire des déesses d'Atlas aura du mal à nous captiver et les 2h10 du film sont infernalement longues et continuellement prémachées, jusqu'à l'absence d'émotions du final qui continue d'enfoncer le film dans la médiocrité.
NOTE : 5 / 20
Caricature, c'est le mot qui convient le mieux à ce Shazam 2. Depuis les déclamations ringardes des bad grandmas jusqu'à celles soulignant inutilement les actions des héros, en passant par les très / trop nombreuses scènes de déjà vu. On se croirait revenu au temps des tout premiers "Superman", avec un alignement de ce qui est devenus des poncifs du genre ; et d'autres genres. Inutile de les énumérer ici bas.
En tous les cas on sent que, vu la fadeur du plat principal, le scénario se contentant de brouter à loisir, sans suspens, on a rajouté plus d'épices que nécessaire : effets XXL (qui se bornent souvent à casser numériquement des décors numériques), humour bon enfant et à rallonge, et apprentis héros maladroits manquant fortement de charisme et perdant ce qui pouvait faire leur charme dans l'épisode précédent.
Quoiqu'il en soit l'histoire des déesses d'Atlas aura du mal à nous captiver et les 2h10 du film sont infernalement longues et continuellement prémachées, jusqu'à l'absence d'émotions du final qui continue d'enfoncer le film dans la médiocrité.
NOTE : 5 / 20
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swingoutsister2 >> le 18/09/2023 à 15:59#337
Parce qu'il faut bien que ce film, l'une des toutes meilleures adaptations de ce super-héros super populaire, ait bien quelques scories : ce sera cette réalisation incompréhensiblement épileptique, et par extension un changement de réalisateurs pas forcément justifié. Les scènes d'action n'avaient nullement besoin d'une caméra aussi mouvante et remuante pour obtenir l'impact désiré sur le spectateur. Ensuite, si le potentiel de Spot ("La tâche" en VF...) ne fait absolument aucun doute et vient joliment suppléer à Kingpin ("Le caïd" je mettrais tout d'abord en doute son design, tellement plus réussi dans les comics d'origine, et un début de film qui se surprend à n'être qu'une banale histoire de vengeance et pour laquelle le scénario met du temps à trouver sa véritable raison d'être : le twist à propos de M. Morales rabattra bien évidemment les cartes pour le meilleur. Même si le scénario prend le temps de développer personnages et situations à juste titre.
Mais qu'importe ces "défauts" qui n'entravent jamais notre plaisir à prendre part à ses nouvelles aventures ambitieuses, car le véritable point le plus fort du film, digne suite qui prolonge à merveille à la fois une histoire d'amour complexe et le discours sur cette difficulté à devenir / être Spider-man, demeure bien évidemment un visuel toujours aussi estomaquant qui mériterait nombre d'arrêts sur image pour en savourer toute la finesse et l'intrication. Depuis le crayonné du premier comics de 1962 jusqu'au design des Sex pistols appliqué à Spider-punk, c'est effectivement un savoureux mélange à la fois ultra référenciel (jusqu'au clins d'oeils : le Venomint) et électrisant, parfaitement intégré à un ensemble qui donne une nouvelle fois naissance à un esthétisme fulgurant, d'une extraordinaire originalité ; et dont la beauté époustouflante nous sidère au détour de n'importe quel plan. Par ailleurs chacun des univers et des personnages possèdent cette personnalité que nombre de films de super-héros rêveraient de pouvoir retranscrire à l'écran !
La Brigade du Spider-verse apporte également un louable sang neuf au film, ingénieuse idée s'il en ait, et donne également lieu à la séquence anthologique d'une lutte entre Miles et quantité d'autres Spidey, dont le mémorable Spider-man 2099.
Enfin, la compositionn de Daniel Pemberton atteint ici une quasi perfection et participe de beaucoup à une atmosphère qui hésite entre le fun (toutefois moins drôle que le précédent) et une gravité toute maîtrisée.
NOTE : 15-16 / 20
Mais qu'importe ces "défauts" qui n'entravent jamais notre plaisir à prendre part à ses nouvelles aventures ambitieuses, car le véritable point le plus fort du film, digne suite qui prolonge à merveille à la fois une histoire d'amour complexe et le discours sur cette difficulté à devenir / être Spider-man, demeure bien évidemment un visuel toujours aussi estomaquant qui mériterait nombre d'arrêts sur image pour en savourer toute la finesse et l'intrication. Depuis le crayonné du premier comics de 1962 jusqu'au design des Sex pistols appliqué à Spider-punk, c'est effectivement un savoureux mélange à la fois ultra référenciel (jusqu'au clins d'oeils : le Venomint) et électrisant, parfaitement intégré à un ensemble qui donne une nouvelle fois naissance à un esthétisme fulgurant, d'une extraordinaire originalité ; et dont la beauté époustouflante nous sidère au détour de n'importe quel plan. Par ailleurs chacun des univers et des personnages possèdent cette personnalité que nombre de films de super-héros rêveraient de pouvoir retranscrire à l'écran !
La Brigade du Spider-verse apporte également un louable sang neuf au film, ingénieuse idée s'il en ait, et donne également lieu à la séquence anthologique d'une lutte entre Miles et quantité d'autres Spidey, dont le mémorable Spider-man 2099.
Enfin, la compositionn de Daniel Pemberton atteint ici une quasi perfection et participe de beaucoup à une atmosphère qui hésite entre le fun (toutefois moins drôle que le précédent) et une gravité toute maîtrisée.
NOTE : 15-16 / 20
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swingoutsister2 >> le 18/09/2023 à 15:40#336
Ouf ! Indiana Jones et le cadran de la destinée s'avère être un travail digne et respectueux de la saga, tant sur le scénario que derrière la caméra.
Scripturalement on retrouve cette même forme aboutie de déférence et d'hommage -avec quelques retours heureux- à un genre et à une série de films qui arrive à son "terme", tout du moins celui d'une époque. Le film conserve précieusement la structure de ces bons vieux métrages d'aventure d'antan dont Indie se targue d'être à la fois le garant d'une certaine qualité et celui d'une mémoire vivace.
Et de ce côté ce 5ème épisode s'approprie joliment les tics de ses prédécesseurs : les diverses étapes qui courent le monde, les aides diverses, les énigmes complexes qui finissent immanquablement par ouvrir de secrètes portes, des bad guys de compétition qui ne font jamais semblant, de rafraichissantes punchlines bien à propos. Et avec en sus la petite musique universelle.
J. Mangold réussit pleinement son passage de relai : en témoigne sa mise en scène, menée tambour battant mais demeurant toujours un exemple de fluidité, avec ce même souci du détail, cette envie de décortiquer le moment et d'entrer dans la tête des personnages, même à l'instant le moins opportun ; ces séquences d'action qui semblent, et même, pourraient s'étirer encore plus et durer des heures.
Bien sûr on n'évitera pas quelques facilités de-ci, de-là : l'introduction du bâton de dynamite bien à propos (mais, à l'inverse, celle plus subtile de la nage) et quelques menues erreurs. Des broutilles..
La force de cette saga tient également en ses personnages : L'innocente filleule Helena qui se révèle extrêmement cupide, et d'autant plus intéressante, et le jeune et prometteur Teddy dont E. Isidore s'approprie avec justesse la personnalité. Et puis il y a la prestation fulgurante et remarquable de Mads...
Sur le fond Le cadran de la destinée évoque à bien égard le temps, sans prise de tête : l'histoire d'un homme vieillissant, dépassé par son temps (la scène du cheval / métro est joliment symbolique) qui va devoir mener à bien l'exploration de ce même temps dans sa forme la plus complexe.
Un blockbuster à l'ancienne, visuellement intègre et jamais encombré d'effets superfétatoires. Le tout doublé d'une magnifique histoire et un hommage à la saga en forme de révérence... Indie tirant son chapeau ?
NOTE : 15-16 / 20
Scripturalement on retrouve cette même forme aboutie de déférence et d'hommage -avec quelques retours heureux- à un genre et à une série de films qui arrive à son "terme", tout du moins celui d'une époque. Le film conserve précieusement la structure de ces bons vieux métrages d'aventure d'antan dont Indie se targue d'être à la fois le garant d'une certaine qualité et celui d'une mémoire vivace.
Et de ce côté ce 5ème épisode s'approprie joliment les tics de ses prédécesseurs : les diverses étapes qui courent le monde, les aides diverses, les énigmes complexes qui finissent immanquablement par ouvrir de secrètes portes, des bad guys de compétition qui ne font jamais semblant, de rafraichissantes punchlines bien à propos. Et avec en sus la petite musique universelle.
J. Mangold réussit pleinement son passage de relai : en témoigne sa mise en scène, menée tambour battant mais demeurant toujours un exemple de fluidité, avec ce même souci du détail, cette envie de décortiquer le moment et d'entrer dans la tête des personnages, même à l'instant le moins opportun ; ces séquences d'action qui semblent, et même, pourraient s'étirer encore plus et durer des heures.
Bien sûr on n'évitera pas quelques facilités de-ci, de-là : l'introduction du bâton de dynamite bien à propos (mais, à l'inverse, celle plus subtile de la nage) et quelques menues erreurs. Des broutilles..
La force de cette saga tient également en ses personnages : L'innocente filleule Helena qui se révèle extrêmement cupide, et d'autant plus intéressante, et le jeune et prometteur Teddy dont E. Isidore s'approprie avec justesse la personnalité. Et puis il y a la prestation fulgurante et remarquable de Mads...
Sur le fond Le cadran de la destinée évoque à bien égard le temps, sans prise de tête : l'histoire d'un homme vieillissant, dépassé par son temps (la scène du cheval / métro est joliment symbolique) qui va devoir mener à bien l'exploration de ce même temps dans sa forme la plus complexe.
Un blockbuster à l'ancienne, visuellement intègre et jamais encombré d'effets superfétatoires. Le tout doublé d'une magnifique histoire et un hommage à la saga en forme de révérence... Indie tirant son chapeau ?
NOTE : 15-16 / 20
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swingoutsister2 >> le 18/09/2023 à 15:22#335
Derrière une présentation qui emballe bien son sujet se cache un film bourré d'idées, à chaque séquence et à ras la gueule, d'un bestiaire pléthorique et d'une foison de caractères, développant chaque personnage assez justement (le héros dramatique qui se cache derrière son humour), abreuvant ainsi et sans cesse le spectateur, et assumant pleinement son statut de soft fantasy. Même si je regrette que le côté comique prenne trop souvent et gratuitement le pas sur l'heroic pure et dure. C'était simplement plus vendeur...
La première bonne idée du scénario est, donc, cet alignement de séquences à bout de souffle et le respect de l'esprit du jeu : une mission en toile de fond, des étapes obligatoires, des objets que l'on ressort du sac et une équipe soudée et complémentaire. Avec cette impression d'avoir souvent les cartes en main !
La deuxième excellente trouvaille se situe dans le fil d'Arianne du scénario : celui-ci se refusant à la trop classique quête d'un quelconque objet magique -même si objet magique il peut y avoir- et se focalise sur ce héros qui veut retrouver grâce aux yeux de sa fille et la récupérer.
Dernière bonne inspiration : faire du film un bon gros jeu de piste sur grand écran, même si le résultat n'est pas toujours à la hauteur de nos espérances, notamment ce jeu final qui tombe carrément à plat.
Si l'on ne trouvera aucune réelle finesse dans la trame, visuellement le film est plutôt bien servi, avec ses effets spéciaux bien dosés et pas tout numériques ; et j'ai également trouvé les deux réalisateurs -auteurs du génial Game night- très à l'aise, et la bande originale d'excellente facture, variée, plaisante et même élégante.
Léger mais jamais ennuyeux, pas très fin mais réjouissant (la scène du cimetière et de nombreux gags resteront), jamais un chef-d'oeuvre mais un plaisir de chaque instant, pas forcément brillant mais so fun de bout en bout.
La première bonne idée du scénario est, donc, cet alignement de séquences à bout de souffle et le respect de l'esprit du jeu : une mission en toile de fond, des étapes obligatoires, des objets que l'on ressort du sac et une équipe soudée et complémentaire. Avec cette impression d'avoir souvent les cartes en main !
La deuxième excellente trouvaille se situe dans le fil d'Arianne du scénario : celui-ci se refusant à la trop classique quête d'un quelconque objet magique -même si objet magique il peut y avoir- et se focalise sur ce héros qui veut retrouver grâce aux yeux de sa fille et la récupérer.
Dernière bonne inspiration : faire du film un bon gros jeu de piste sur grand écran, même si le résultat n'est pas toujours à la hauteur de nos espérances, notamment ce jeu final qui tombe carrément à plat.
Si l'on ne trouvera aucune réelle finesse dans la trame, visuellement le film est plutôt bien servi, avec ses effets spéciaux bien dosés et pas tout numériques ; et j'ai également trouvé les deux réalisateurs -auteurs du génial Game night- très à l'aise, et la bande originale d'excellente facture, variée, plaisante et même élégante.
Léger mais jamais ennuyeux, pas très fin mais réjouissant (la scène du cimetière et de nombreux gags resteront), jamais un chef-d'oeuvre mais un plaisir de chaque instant, pas forcément brillant mais so fun de bout en bout.
NOTE : 13-14 / 20
Groupe: Membre | Enregisté: 25/03/2023 | Commentaires: 724 | Fiches: 0
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